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Memoranda
6 juin 2009

Je suis sa Isabelle.

Alors j'ai pris ma marinière en coton. Puis je l'ai rejoins, elle m'attendait au bout de la rue. Cette soirée nous sommes aller nous promener près de la boutique de musique. Et parmi tous ces inconnus, toutes ces personnes que je ne connaissais pas, j'ai pu apercevoir A., ce garçon que je ne connais pas tellement. C'était alors la troisième fois que je le croisais. Je suis alors aller lui demander du feu. Il me remarqua, étonnée de me voir encore ici. A ce moment là, j'vais le coeur battant si fort, et je tremblais. Il avait autour de lui certains amis que je ne connaissais pas le moins du monde. La cigarette terminée, nous sommes rentré dans la salle de concert; beaucoup d'élèves venaient montrer leurs talents.

La soirée terminée, nous sommes rentré. Nous avons regardé ce film dont elle me parlait si souvent. "Tu verras Elisa, ce film me fait toujours pleurer". Alors nous avons pleuré, ensemble, devant ces scènes d'amour désespérées qui me faisait penser à toi. A la fin du film, nous en rigolions tellement nous nous trouvions sotes de pleurer sans réelles raisons, et à la fois nous étions heureuse. C'était enfin un moment ensemble, hors des chagrins de l'endroit maudit. Une bouffée d'oxygène. Nous nous rejoignâmes dans sa chambres, le salon éteint. Puis nous avons discuté. A propos de tout. Tu sais on a refait le monde par nos mots, et puis on annalysait tout notre parcours, ce parcours difficiles que nous avions partagé ensemble. C'était bon de se sentir à l'abris. Deux heures plus tard, j'achéva la discussion en lui déclarant que j'avais sommeil. Je rejoignis mon lit, elle aussi. Et une longue nuit débuta. J'étais heureuse tu sais, et pleine d'espoir en la vie. Je reprenais peu à peu mon souffle et mon gout de vivre que j'avais perdu durant toutes ces épreuves innexplicablement cruelles. Je n'avais plus envie de quitter cette révigorification de l'âme. Je voulais arrêter le temps, perdue dans le rêve d'à jamais être ensemble. On se le promet, jamais on ne se quittera. On se le promet oui, on s'oblige, on se fait saigner s'il le faut, on se mutile si on le doit, mais on ne se perd pas non, on ne se quitte pas. Tu sais, je t'aime moi.

Cette après-midi, il y a eu M. Cette fille que je ne connais même pas. Alors nous avons discuté des heures ensemble. Je la trouve jolie. Nous avons beaucoup ris. Nous discutions de moi, je lui demandé conseils sur les choses qui faisaient ma vie aujourd'hui, elle, elle me racontait. J'aimais beaucoup l'écouter, en fait je fus vraiment heureuse car je me rendis compte que nous étions pareil. Ce soir, elle m'envoya un message comme quoi elle me remerciait de cette après-midi en ma présence, qu'elle était ravi d'avoir trouvé quelqu'un comme moi, et qu'elle espérait mon bonheur. Ceci me rendit bien prospère, car ce ressenti était réciproque. Je crois qu'elle me fait du bien. Et je me sens libre enfin. Car avec elle, tout était tellement plus simple.

Plus de pensées tristes pour le moments, et je me sens libre de corps et d'esprit.

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