4 juin 2009
Il n'y a pas un jour où je me dis que j'aurai
Il n'y a pas un jour où je me dis que j'aurai déjà dû partir.
C'est à la limite du temps. À la limite des émotions. À la limite de innombrables fois où j'ai cru que tu étais là. C'est un silence de glace qui perfore le papier, tel un poignard perforant les légers pétales de la Fleur du mâle. Ce nom est ancré en mon âme. C'est une rose rouge brûlée par les sanglots terrifiants d'une nuit terrifiante. C'est un rayon de lumière obscur qui diversifie l'atmosphère. L'obscure Clarté. C'est ta voix. Ton odeur. Et inconsciement ton regard qui percerait le mien. L'infinie espace. L'infinie sentiment d'un coeur déchiré par l'oublie. La peine aussi
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