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Memoranda
29 mars 2009

UNESCO.

Tu entends les murmures incertains? Et la fraîcheur de la soirée, la ressens-tu sur ta peau blanche,exposée si peu au soleil doré? La ville s'endort tranquillement,le crépuscule a ainsi envahit les toits rouge brique et le sommeil ne va pas tarder son attaque vicieuse sur les âmes fatiguées de leur journée. C'est alors que le rêve inondera l'essence divine du subconscient. Là où la folie pourrait surmonter la triste existence d'un vide incrédule. Le crépuscule doré. L'instant où la nuit cachera les tentations,et les caresses délicates peu tolérée des vieilles personnes. Où dans l'obscurité des ruelles,les amoureux se retrouveront. La solitude exercera son pouvoir. Comme l'homme rêveur, qui se promène parmi les âmes trompés,perdu dans son monde, repoussant notre monde. La nuit,la vie. La où le silence transitoire, et l'arrêt éphémère et partielle de la vie prendra forme et comme tout,aura une fin. Car au levé du soleil,tout recommencera. Les habitudes font surfassent quant le jour se lève. Les âmes endormies s'éveilleront, pour renouveler leurs routines, si gravées par le temps. Parfois,j'aimerai changer de monde,pour changer de vie,pour changer les Hommes,pour changer les âmes qui,aigris par la vie,le détruisent. Voilà une bonne excuse pour s'inventer un monde; cette univers me désespère. C'est la malheureuse fatalité qui parle. Je serai morte d'ici là,pourtant je sais déjà que la belle fraîcheur du matin, ou bien la beauté de la tombé de la nuit qui submerge les âmes seules,n'arrêtera jamais l'inévitable. La beauté n'est qu'un outils de la vie. La fatalité veut que l'on prenne toujours les bonnes résolutions trop tard. Si seulement nous le savions,avant.

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Commentaires
J
Comme l'homme rêveur.<br /> <br /> Appelle-moi juste Paul.<br /> Tout simplement.<br /> Car il n'y a rien de plus.
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